Lutte contre les maladies
Biosécurité : le bon sens au service du sanitaire
Denis Marie, éleveur laitier au Ménil-Hubert-sur-Orne (61), a vu la tuberculose frapper son troupeau. Accompagné par le GDS 61, il a décidé de renforcer les mesures de biosécurité sur son exploitation pour éviter que la tragédie ne se répète. À travers son témoignage, il souhaite montrer l'importance d'avoir un accompagnement collectif, technique et financier, pour préserver la santé des cheptels.
Denis Marie, éleveur laitier au Ménil-Hubert-sur-Orne (61), a vu la tuberculose frapper son troupeau. Accompagné par le GDS 61, il a décidé de renforcer les mesures de biosécurité sur son exploitation pour éviter que la tragédie ne se répète. À travers son témoignage, il souhaite montrer l'importance d'avoir un accompagnement collectif, technique et financier, pour préserver la santé des cheptels.
Denis Marie, 58 ans, élève une centaine de vaches Normandes au Ménil-Hubert-sur-Orne, en plein cœur de la zone réglementée pour la tuberculose bovine, à la frontière entre le Calvados et l'Orne. Longtemps épargné, il a finalement dû y faire face. "Ça faisait trois ans qu'il y avait des cas dans le village, il fallait bien que j'y passe un jour", confie-t-il avec fatalisme.
Après l'abattage de son troupeau en avril dernier, Denis Marie est parvenu à repeupler sa ferme en juin avec six lots de Normandes. Depuis, il a mis en place des mesures de biosécurité afin de ne plus jamais connaître une telle situation.