Fédération départementale des chasseurs de la Manche
[EN IMAGES] Avec 3 724 sangliers prélevés, la régulation s'impose
L'évolution du petit gibier comme du gros gibier inquiètent le monde de la chasse. Le premier en raison de sa baisse et le second par sa prolifération exponentielle en dix ans et les dégâts engendrés dans les cultures. La Fédération des chasseurs de la Manche tire donc la sonnette d'alarme parce que la facture ne cesse de s'alourdir.
L'évolution du petit gibier comme du gros gibier inquiètent le monde de la chasse. Le premier en raison de sa baisse et le second par sa prolifération exponentielle en dix ans et les dégâts engendrés dans les cultures. La Fédération des chasseurs de la Manche tire donc la sonnette d'alarme parce que la facture ne cesse de s'alourdir.










"J'ai des inquiétudes en ce qui concerne le petit gibier", débute Gérard Bamas, président de la Fédération départementale des chasseurs de la Manche lors de l'assemblée générale le 5 avril devant 300 adhérents. Et pour cause, "le lièvre est en diminution, le faisan connaît une seconde année difficile en matière de reproduction et le lapin de Garenne se fait rare", évoque le président.