L’araignée ne tient qu’à un fil
A Sarceaux, près d’Argentan, Sabrina Bailly est éleveuse de laitières. Depuis cinq ans, elle utilise l’araignée de prairie. Une clôture déplaçable qui lui permet de gérer facilement le pâturage. Explications en vidéo.
A Sarceaux, près d’Argentan, Sabrina Bailly est éleveuse de laitières. Depuis cinq ans, elle utilise l’araignée de prairie. Une clôture déplaçable qui lui permet de gérer facilement le pâturage. Explications en vidéo.
![Autour de l’araignée de prairie, de gauche à droite : Ivonne Scholte-Aalbes, commerciale Gallagher Europe ; Alain Collette, commercial Bouet Service élevage, Benoît Bloyer, salarié de l’exploitation ; Vincent Jourdain, délégué commercial Gallagher ; Sabrina Bailly, exploitante à Sarceaux et Emmanuel Chaveron, PDG de Bouet Service élevage qui commercialise les araignées.](https://medias.reussir.fr/agriculteur-normand/styles/normal_size/azblob/2023-11/S7B70G4F1_web.jpg?itok=pVyNdioB)
Sabrina Bailly est éleveuse de laitières depuis 1998 en troupeau mixte lait AOP à Sarceaux, près d‘Argentan. Elle cultive 135 ha de culture et d’herbe. Il y a cinq ans, elle a investi dans trois araignées, « pour plus de praticité et un gain de temps », explique-t-elle. « A l’origine on utilisait les petits piquets classiques, plus difficiles à enfoncer quand le sol est sec ». Elle nous a ouvert son exploitation pour faire connaître ce système de clôture et partager son expérience. Dans l’Orne et le Calvados, le matériel est vendu par Bouet service élevage. Comptez 400 € pour cinq araignées et un fil de 200 mètres, Une centaine d’euros pour l’enrouleur.