Intempéries et dégâts cultures
L'état de choc après le coup de grêle du côté de Carrouges
La Ferme régionale va payer un lourd tribut après le violent coup de grêle du 25 juin dernier. Dans les têtes et dans les parcelles, c'est l'état de choc psychologique et technique. Du côté de Carrouges (61), la FDSEA est venue samedi prendre la mesure d'un aléa climatique sans précédent.
La Ferme régionale va payer un lourd tribut après le violent coup de grêle du 25 juin dernier. Dans les têtes et dans les parcelles, c'est l'état de choc psychologique et technique. Du côté de Carrouges (61), la FDSEA est venue samedi prendre la mesure d'un aléa climatique sans précédent.






Sylvain Delye (président de la FDSEA 61), accompagné de responsables locaux, s'est rendu samedi dernier du côté de Carrouges pour prendre le pouls d'agricultrices et d'agriculteurs ayant subi le second coup de Trafalgar sous forme de grêle du 25 juin dernier. Pour Clément, Benoît, Valentin, Charles, Sylvain, Marion (...), le constat est identique : "le potentiel était là. En moins de 10 minutes, tout a été réduit à néant". Principalement producteurs de lait ou en bovin viande, tous ne sont pas assurés alors le désarroi économique s'ajoute au désarroi technique. "La première chose à faire est de prendre contact avec la DDT", invite Sylvain Delye, conscient que l'urgence immédiate reste l'écoute et le partage avant d'entamer la concertation avec les services de l'État.