Race charolaise
Oui aux découplages des aides
Race charolaise
Mercredi prochain, les éleveurs de la race sont en assemblée générale à l'Abbaye de Montebourg. Regard sur un atelier, celui de Thierry Chasles (Domjean).

Thierry Chasles, éleveur à Domjean, “les aides du PMPOA 2 étant inférieurs à celles du 1, je n’ai pu faire de mise aux normes”.
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EC
En 1983, lorsqu’il s’installe en individuel, Thierry Chasles (Domjean, près de Tessy sur Vire) doit faire le choix d’un atelier complémentaire à celui des fruits à cidres. “Seul, prendre des laitières ce n’était pas évident d’autant plus que je n’avais que 6 hectares. J’ai donc opté pour des vaches allaitantes, ce qui m’a permis de récupérer des terres familiales”. Aujourd’hui, Thierry s’occupe d’une quarantaine de Charolaises . “J’ai 67 droits à prime”.Pourquoi spécialement cette race ? “Elle est rustique et surtout pas violente. Par contre, je prône absolument le découplage des aides qui donnera aux éleveurs beaucoup plus de souplesse".
La suite dans votre édition du 22 janvier