Aller au contenu principal

L'informatique au service des éleveurs
“Synel me simplifie la vie”

En adoptant le logiciel Synel et un “pocket”, Eric Lepage gère tout son élevage sans faille.

Damien Marie (à gauche) et Eric Lepage, “Synel ? Simple, clair et net”.
Damien Marie (à gauche) et Eric Lepage, “Synel ? Simple, clair et net”.
© E.C.
“Je peux tout faire avec !” Eric Lepage, éleveur laitier à Saint-Jean des Baisants, non loin de Saint-Lô, fait défiler les pages sur son écran. Pas de doute, Synel, outil informatique permettant de saisir les notifications, les saillies naturelles, d'interroger les données concernant les inséminations, les résultats de contrôle laitier, l'inventaire des animaux etc... est promis à un bel avenir. Midi ou soir Aujourd’hui, c’est une journée un peu spéciale pour Eric Lepage. Damien Marie, technicien de l'identification manchoise (AIAM) vient finaliser “Synel Web” et la synchronisation avec le “pocket”. Un mini-ordinateur, à peine plus grand qu’un paquet de cigarettes, qui permet de saisir à la stabulation, dans les champs, etc... toutes les informations concernant le troupeau. “Le midi, ou le soir, on connecte le “pocket” à l’ordinateur et toutes les données sont immédiatement transférées”. Déclaration en deux minutes Eric Lepage ne tarit pas d’éloges sur Synel, “je ne comprends pas qu’il y ait encore des éleveurs avec un cahier et un crayon, même le minitel me semble dépassé”. Et notre homme d’ouvrir son portable pour effectuer une déclaration de naissance. En moins de deux minutes, tout est enregistré, Eric recevra les papiers de l’animal le surlendemain. “Outre les déclarations, les dates de vêlage ou autres, je gère mon stock de boucles ou encore mes cultures (fertilisation). Idem pour la pharmacie de l’élevage”. Bref, une traçabilité sans faille. “Par ailleurs, en fonction des paramètres que j’ai rentré je reçois des alertes sur les animaux à vêler ou autres”. Il faut avouer que la démonstration est impressionnante. Clair, simple, Synel s’avère un outil passionnant... à condition de tout entrer en temps en heure. Damien Marie, de son côté, a fini de synchroniser le “pocket”. “Nous en sommes à 911 abonnés Synel au 1er janvier dont 130 avec “pocket”. Chiffre relativement modeste, mais cela s’accélère, “je vais effectuer huit installations cette semaine”. Eric Lepage, lui, plaide pour une baisse des coûts. “Comme tout est saisi automatiquement par l’éleveur, on pourrait encore payer moins cher...” Damien Marie réplique aussitôt, “les abonnés Synel bénéficient déjà d’une réduction de 0,55 euro par bovin par rapport au système manuel”.
Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout l'Agriculteur Normand.

Les plus lus

[LES GAGNANTS DU JOUR]. TIEA : Giel Don Bosco repart avec la médaille d’or
Cinq établissements normands ont fait le déplacement à Paris, du samedi 25 février au dimanche 5 mars 2023, pour participer au…
Enquête : Loup y es-tu dans le Calvados ?
Quatre éleveurs d’ovins témoignent. Depuis 2019, entre Lisieux et Merville-Franceville, ils décrivent des attaques violentes sur…
[LE STAND]. Protéines végétales : une idée l(ég)umineuse
A l’heure où l’Europe et l’État français tendent à intégrer toujours plus de protéines végétales dans les assiettes, il était…
[L'ANIMATION]. Le lin, star d’un jour pour le défilé normand
Le Conseil départemental de l’Eure et les Chambres d’agriculture de Normandie ont convié plusieurs marques de création textile en…
[EN IMAGES] Avec Cindy Gelas, le savoir-faire normand s’exporte à Tahiti
Cindy Gelas ambitionne de lancer une filière de production laitière en Polynésie française d’où elle est originaire. C’est en…
Anne-Marie Denis et Christiane Lambert tournent une page à Alençon
A l’issue de l’assemblée générale de la FDSEA de l'Orne, qui s’est déroulée lundi 6 mars 2023 en Alençon, Anne-Marie Denis et…
Publicité