Entraide
Il appelle à la solidarité pour sauver la ferme de son papa
Depuis l'hospitalisation de son père mi-août, Quentin Énée, 28 ans, a quitté la Bretagne pour revenir en urgence à la ferme de la Maresquerie, près d'Isigny-sur-Mer (14) où presque 100 bovins y sont élevés. Fils unique, il a lancé mi août, un appel à la solidarité sur les réseaux sociaux. Bénévoles et voisins répondent déjà présents, mais les besoins sont encore importants pour passer l'hiver sereinement.
Depuis l'hospitalisation de son père mi-août, Quentin Énée, 28 ans, a quitté la Bretagne pour revenir en urgence à la ferme de la Maresquerie, près d'Isigny-sur-Mer (14) où presque 100 bovins y sont élevés. Fils unique, il a lancé mi août, un appel à la solidarité sur les réseaux sociaux. Bénévoles et voisins répondent déjà présents, mais les besoins sont encore importants pour passer l'hiver sereinement.




Formé à la MFR de Balleroy puis à l'Iréo de Maltot, Quentin Énée a poursuivi son parcours agricole en BTS Acse au lycée Saint-Lô Thère. N'étant pas parvenu à obtenir son BTS, il a exercé plusieurs emplois en intérim avant de se réorienter dans une formation radio en Bretagne pour travailler chez France Bleu. Chose qu'il a faite durant les cinq dernières années et demie. Mais, même si Quentin avait pris ses distances avec le milieu agricole, il continuait tout de même à gérer les déclarations de naissances et la PAC de la ferme de son papa. Et c'est le brusque coup d'arrêt de ce dernier, hospitalisé mi-août, qui l'a ramené à la ferme en Basse-Normandie.
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