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Littoral Normand met le cap sur 2022

Littoral Normand s’est fixé un nouveau cap stratégique pour les 5 années à venir. Objectif : conquérir de nouveaux adhérents pour atteindre la barre des 4 000 grâce notamment à une offre élargie à partir de l’automne prochain et une marque chapeau.

Thierry Hulmer (président de Littoral Normand) : « même si le projet avec nos amis de l’Orne n’a pas pu se concrétiser comme annoncé lors de l’assemblée générale 2017, je tiens à rappeler notre ambition d’être au service de tous les éleveurs de Normandie et de toute la filière lait et viande de Normandie. Je reste donc optimiste et persuadé que la réunification de la Normandie se fera même si cela demandera un peu plus de temps que prévu. C’est en étant uni ...
Thierry Hulmer (président de Littoral Normand) : « même si le projet avec nos amis de l’Orne n’a pas pu se concrétiser comme annoncé lors de l’assemblée générale 2017, je tiens à rappeler notre ambition d’être au service de tous les éleveurs de Normandie et de toute la filière lait et viande de Normandie. Je reste donc optimiste et persuadé que la réunification de la Normandie se fera même si cela demandera un peu plus de temps que prévu. C’est en étant uni derrière un projet ambitieux que nous
© TG

Après 5 ans de fonctionnement, Littoral Normand (issue de la fusion des trois ex Ecel de Normandie) se devait de se fixer une nouvelle étape pour s’adapter, se développer et grandir. L’affaire semblait ficelée l’an dernier avec une territorialité virtuellement augmentée à l’Orne.
Mais entre le virtuel et le réel, il est depuis passé beaucoup de lait dans les tuyaux. De part et d’autre des frontières départementales, on ne parle plus de fusion. Pas de quoi refroidir pour autant les ardeurs de Littoral Normand qui a tenu, le 7 juin dernier, son assemblée générale. Son président, Thierry Hulmer, l’a rappelé : « même si le projet avec nos amis de l’Orne n’a pas pu se concrétiser comme annoncé lors de l’assemblée générale 2017, je tiens à rappeler notre ambition d’être au service de tous les éleveurs et de toute la filière lait et viande de Normandie. Je reste donc optimiste et persuadé que la réunification de la Normandie se fera même si cela demandera un peu plus de temps que prévu. C’est en étant uni derrière un projet ambitieux que nous nous rassemblerons.»

Un changement de visuel et une offre élargie
En attendant, Littoral Normand a opéré à un toilettage de printemps avec une nouvelle identité visuelle et une offre de services repensée et élargie. Elle sera vulgarisée dès l’automne prochain.  Une réponse à la segmentation du comportement des éleveurs avec des objectifs chiffrés : « conquérir de nouveaux adhérents pour atteindre les 4000 à l’horizon 2022 ». Un Littoral Normand « fort et conquérant » qui s’appuie sur un projet stratégique multiaxial. « Une nouvelle organisation nécessaire pour optimiser les moyens, développer de nouveaux métiers de service et améliorer notre efficacité. La mise en place d’une nouvelle carte de services en janvier 2019 pour être plus proches de vos attentes. L’adaptation de nos modalités de facturation qui prendra plus en compte le temps réellement passé par nos salariés au service des adhérents. L’adéquation des compétences de nos collaborateurs à vos besoins », ont défendu les porteurs de ce projet. «Notre ambition est de développer l’activité par la mise en place de nouveaux services et produits auprès de l’ensemble des éleveurs normands. Ce projet s’appuie sur nos valeurs d’entreprise : la proximité, l’engagement, l’innovation et le professionnalisme», a encore insisté Thierry Hulmer.

70 % de connectés en lait
Et l’innovation est au cœur des enjeux de demain avec en premier lieu la ferme connectée. « Bon nombre d’experts de coopératives, de start-up (...) s’accordent à dire que le numérique est l’un des enjeux clés pour l’agriculture de demain. Les agriculteurs l’ont bien compris et sont mieux équipés que la moyenne en matière de nouvelles technologies (ordinateur, tablette, smartphone). La palme revient aux éleveurs laitiers dont près de 70 % utilisent au moins un objet connecté sur leur exploitation (robot, monitoring des animaux, compteur à lait, DAC...)» souligne Julie Dewez (ingénieur recherche & Développement Seenergi - Médria Solutions. Reste à faire de cette ferme connectée un centre de progrès et de profit gagnant/gagnant.

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