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C'est une bonne gestion des postes aliments du bétail et surface fourragère qui permet d'observer dans le réseau un coût alimentaire de 70 € à 90 € selon les systèmes d'exploitation.
Le coût alimentaire : 2/3 des charges opérationnelles
La maîtrise du coût alimentaire, dans les systèmes suivis par le réseau lait bas-normand, sur 2006/2007, reste d'actualité. C'est…
Mon ambition est de placer le bilan de santé de la Pac dans la perspective de 2013 pour préserver cette politique indispensable à notre économie agricole et à nos territoires.
Nous devons lancer dès à présent le débat de l’après 2013
Dans la perspective de l’après 2013, le ministre de l’Agriculture entend mettre l’accent sur la gestion des risques climatiques…
Mickaël Barbier, juge, à l’oeuvre lors des sections.
80 animaux à Montebourg
Belle participation des éleveurs du nord-Manche lors de la Chandeleur à Montebourg. A la clé, la victoire pour Luc Destrés.
Plus de 50% des producteurs ont un prix de vente du lait inférieur à la moyenne (302 €/1 000 l). Cette proportion était de 24% en 2006. Cela s'explique essentiellement par la baisse du prix de base du lait (-13 €).
Des prix en hausse mais toujours des incertitudes
Le CER France Calvados a communiqué les résultats économiques de la ferme Calvados. Les agriculteurs ont fini l’année avec le…
Une assemblée qui fait le plein.
Les ETA veulent fidéliser leurs salariés
Intéresser le salarié au résultat de l’entreprise afin de le fidéliser : un des thèmes débattus par les ETA à l’occasion de leur…
Roue traceuse qui sert de guide. Elle est d'abord installée sur le semoir puis sur la bineuse.
Désherbage : les techniques alternatives sont performantes
Le maïs est semé en rangs espacés de 45, 75 ou 80 cm, ce qui facilite l'emploi des sarcleuses ou des bineuses.
Nos sélections de la semaine
Nous avons sélectionné pour vous 48 offres d'emplois.
Un cas décelé à Quettehou
Un nouveau cas de FCO (type 8) vient d’être confirmé dans le département, à Quettehou, dans le Val de Saire. Du côté de la…
Une ration à base de foin et de betteraves.
“Mieux respecter l’environnement”
Dernièrement, l’association Segrafo otganisait des portes ouvertes sur le foin séché en grange, à St Martin le Hébert.
Pour ses clôtures et la replantation de haies (400 m), Stéphanie bénéficie du soutien du Conseil général et du Contrôle Laitier (30 % de subventions sur 15 000 e d’investissement). Côté main-d’œuvre pour mener à bien son chantier, “DIVACLOT SUR, c’est la cerise sur le gâteau”, lance-t-elle.
Stéphanie clôture malin
En moins d’un an, 6 TIG (Travaux d’Intérêt Général) se sont succédé sur la ferme de La Baronnie. Résultat : plus de la moitié des…